Les perturbateurs endocriniens.

Plusieurs bonnes raisons de les chasser de notre vie…

Dans l’univers des cosmétiques, 40 % des produits contiendraient une substance étrangère à l’organisme susceptible d’interférer avec les fonctions du système endocrinien.

Ils sont au moins huit cents. Présents dans tout l’environnement, Les perturbateurs endocriniens (PE) le seraient aussi dans 40% des cosmétiques, sous forme de conservateurs, de filtres, etc. Les parabens ont déjà fait les frais des soupçons qui pèsent sur eux. Bruxelles en a interdit cinq dans les cosmétiques, «faute de données permettant leur réévaluation».

S’il y a accord sur la définition générale des perturbateurs endocriniens – une substance étrangère à l’organisme susceptible d’interférer avec les fonctions du système endocrinien -, s’ils sont soupçonnés d’effets délétères sur le système reproducteur, de risques accrus de cancers du système endocrinien (sein, prostate) et de maladies métaboliques, il n’existe toujours pas de référentiel permettant de classer chaque substance comme PE ou non PE, selon des critères objectifs et validés, en fonction des doses et des âges de la vie.

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